Le secteur automobile, un an après | Luc Chatel, invité de BFM Business

Un an après le premier confinement et l’effondrement du marché, Luc Chatel fait le point dans le Grand journal de l’Eco sur BFM Business.


Étude IFPEN : « Une baisse sans précédent des émissions des véhicules de dernière génération en usage réel »

Étude IFPEN sur l'évaluation des émissions des véhicules en usage réel

 

La filière automobile a pris connaissance avec beaucoup d’intérêt de l’étude de l’IFPEN, sur l’évaluation des émissions des véhicules dernière génération en usage réel, et rendue publique aujourd’hui.

Cette étude, confiée par le gouvernement à cet institut indépendant, sous l’égide du ministère de la Transition écologique, offre un éclairage d’autant plus pertinent qu’elle s’appuie sur une campagne d’expérimentation sur vingt-deux modèles prélevés sur le marché afin d’évaluer les émissions des véhicules de dernière génération, soumis à de nouvelles normes beaucoup plus strictes et plus représentatives de la réalité des usages des véhicules (Euro 6d-Temp, basé sur le cycle WLTP, et imposant des mesures en conditions réelles de type RDE).

A la lecture des résultats et de l’analyse de l’IFPEN, nous retenons notamment les trois points suivants :

  • La conformité des résultats à la règlementation et avec les données fournies par les constructeurs lors de l’homologation, y compris dans des conditions de conduite très dynamiques ou dans des conditions climatiques très défavorables : les véhicules testés, essence comme diesel, respectent en moyenne les seuils normatifs (particules, oxydes d’azote, HC, CO), dont l’exigence a été très fortement renforcée.
  • Les résultats illustrent les progrès considérables réalisés par l’industrie automobile pour faire baisser les émissions des véhicules mis sur le marché : en vingt ans, les émissions de CO2 des véhicules (VP), vendus en France ont baissé de 35% (170g en 1999, 112g en 2019). S’agissant des émissions polluantes : les émissions d’Oxyde d’azote (Nox), ont été divisées par six en vingt ans dans le cadre d’une norme soumise à des conditions encore plus sévères ; les émissions de particules ont été divisées par dix depuis trois ans. Si les diesels sont plus performants pour les particules fines et les essences pour les oxydes d’azote, il importe de souligner la réduction de 85% depuis cinq ans des émissions de Nox par les véhicules diesels dotés désormais de la technologie SCR (ajout du produit AdBlue).
  • L’étude illustre, enfin, la très forte contribution des véhicules hydrides rechargeables à la transition écologique, tant pour la réduction des émissions polluantes que la baisse des émissions de CO2 : le véhicule hybride rechargeable, permettant de répondre aux usages associant trajets quotidiens assez courts en centre-ville / domicile-travail (trajet inférieur ou égal à 50 km/j) et besoins périodiques de trajets longs sur route, permet, en rechargeant régulièrement sa batterie, de diviser au moins par trois les émissions de CO2 pour les trajets quotidiens, sans les augmenter sur les longs trajets.

A cet égard, cette étude de l’IFPEN vient confirmer sans conteste l’avis émis par l’ADEME en 2018 et selon lequel « les véhicules hybrides rechargeables semblent les solutions les plus pertinentes du point de vue de l'impact sur les émissions de GES, grâce à leur batterie de taille limitée parfaitement adaptée à l'usage majoritaire » (ADEME – Rapport sur l’électrification des véhicules – avril 2018).

Quand on sait que l’âge moyen du parc en France est passé de 5,9 ans en 1990 à plus de dix ans aujourd’hui, les progrès réalisés et les performances des véhicules dernière génération que vient illustrer cette étude, font du renouvellement du parc, à travers le remplacement des véhicules en circulation les plus datés par des véhicules plus récents beaucoup plus propres, l’un des leviers les plus efficaces pour une amélioration rapide de la qualité de l’air.

« Les résultats de cette étude indépendante viennent illustrer l’engagement résolu de la filière automobile dans la bataille pour le climat. Un tel engagement se traduit par des efforts d’innovation sans précédent visant autant l’amélioration de la performance des motorisations thermiques, que le développement de l’électromobilité. 

 Depuis le début de l’année, la part de marché des véhicules électriques et hybrides rechargeables a quasiment quadruplé, passant sur les 11 premiers mois, de 2 ,7% en 2019 à 10,3%. Et la moyenne des émissions de CO2 des voitures neuves vendues en France a atteint, en novembre dernier, son plus bas historique à 93 g/km contre 112,9g à la fin de l’année dernière – soit une baisse de près de 20%.

C’est cette multiplicité des solutions technologiques qui nous permettra de répondre de la manière la plus optimale au défi environnemental, en tenant compte de la diversité des usages, et en maintenant le prix des véhicules à un niveau abordable pour le plus grand nombre afin de favoriser le renouvellement rapide du parc » a indiqué Luc CHATEL, président de la Plateforme automobile (PFA).


#PlanAuto – Bénéficier du fonds de modernisation de 200 millions €

Lancement de l’Appel à projets 2021

Le ministère de l’Economie et des Finances a lancé, jeudi 19 novembre 2020, via Bpifrance, l’Appel à projet 2021 pour soutenir les investissements de modernisation des entreprises, qui s’inscrit, pour le secteur automobile, dans le prolongement du plan de soutien à la filière automobile annoncé par le président de la République le 26 mai dernier. Parmi les mesures fortes du plan, figure un programme de soutien aux investissements de modernisation des entreprises de la filière doté de 200 millions €.

Lors du Comité stratégique de filière présidé le 6 novembre dernier par Luc CHATEL, en présence du gouvernement, avait été acté la reconduite du dispositif avec le lancement d’un nouvel appel à projet. Le fonds sera doté de 600 M€ au total sur 3 ans.

L’objectif est de renforcer la compétitivité du tissu industriel automobile en accélérant la diversification, la modernisation et la transformation des entreprises de la filière.
Le dispositif s’adresse aux entreprises de la filière automobile qui souhaitent investir dans leurs outils de production en faveur d’une industrie compétitive et tournée vers les évolutions et les modèles économiques d’avenir, à développer des processus innovants grâce aux outils numériques et/ou en faveur de l’environnement, dans une logique compétitive.

Candidatez avant le 1er juin 2021, 12h

Le financement apporté par l’Etat est sous forme de subventions et s’inscrit dans le cadre de la réglementation européenne des aides publiques aux entreprises. Les projets attendus doivent être d’au moins 200 000€ pour le secteur automobile. Vous avez jusqu'au 1er juin 2021 pour candidater. L’Appel à projet est en ligne sur le site de Bpifrance 

➜ Téléchargez ici ici le cahier des charges de l’Appel à projets

➜ Téléchargez ici le questions-réponses

➜ Candidatez ici : https://extranet.bpifrance.fr/projets-innovants-collaboratifs/accueil.do?method=init

 

Vos contacts à la BPI et en région

CONTACTS

Direction Générale des Entreprises : conseillers DIRECCTE en région

Bpifrance : p.relance@bpifrance.fr

 

COORDONNÉES DES RÉFÉRENTS AUTOMOBILE EN RÉGION

AUVERGNE RHONE ALPES

Jacques MERCIER - jacques.mercier@direccte.gouv.fr - 06 07 05 53 50

 

GRAND EST

Marie de MONTALEMBERT - marie.demontalembert@direccte.gouv.fr - 03 88 15 46 13

 

HAUTS DE FRANCE

Olivier MESUREUR - olivier.mesureur@direccte.gouv.fr - 03 28 16 46 56

 

BOURGOGNE FRANCHE-COMTE

Sébastien DUBOIS - sebastien.dubois@direccte.gouv.fr - 06 26 53 48 74

 

CENTRE VAL DE LOIRE

Michel MARECHAL - michel.marechal@direccte.gouv.fr - 06 85 23 20 84

 

PAYS DE LA LOIRE

Nicolas TREUIL - nicolas.treuil@direccte.gouv.fr - 07 77 72 01 27

 

OCCITANIE

Julien LEGLISE - julien.leglise@direccte.gouv.fr - 06 29 85 52 38

 

NORMANDIE

Marithé CONNAN - marithe.connan@direccte.gouv.fr - 06 85 07 72 03

 

NOUVELLE AQUITAINE

Ronan BERNARD - ronan.bernard@direccte.gouv.fr - 07 62 77 18 63

 

ÎLE DE FRANCE

Xavier VALCARCEL - xavier.valcarcel@direccte.gouv.fr - 01 70 96 13 43

 

BRETAGNE

Jean-Paul OGEREAU - jean-paul.ogereau@direccte.gouv.fr - 07 60 83 98 89

 

PACA

Françoise ROUQUETTE - Francoise.rouquette@direccte.gouv.fr - 06 20 76 85 06


Relation client-fournisseur / Code de performance et de bonnes pratiques

Les travaux engagés, sous l’égide de la PFA, dans le cadre de la charte d’engagement sur les relations client-fournisseur, ont permis de signer une version révisée du Code de performance et de bonnes pratiques.

Dans le cadre du plan de soutien automobile, les acteurs de la filière automobile ont signé le 26 mai 2020, sous l’égide de la PFA, une charte d’engagement sur les relations entre clients et fournisseurs, afin de renforcer les relations stratégiques, économiques et contractuelles entre les donneurs d’ordre et les sous-traitants.
Objectif : gagner collectivement en compétitivité pour préserver autant que possible le savoir-faire et les compétences présents en France.

Depuis le mois de juin, la PFA a réuni l’ensemble des acteurs à de nombreuses reprises dans le cadre de groupes de travaux mis en place pour répondre aux objectifs de la charte :

-              assurer la pérennité et la compétitivité de la filière automobile française ;

-              renforcer les relations au sein de la filière par un dialogue constructif et des outils adaptés ;

-              clarifier les politiques d’intégration locale et renforcer la prise en compte d’une offre France durablement compétitive sur le territoire national ;

-              revoir certaines clauses du code régissant les relations contractuelles dans la filière.

Ces travaux ont permis de signer une version réviser du Code de performance et de bonnes pratiques relatif à la relation client-fournisseur.

Télécharger le Code de performance et de bonnes pratiques relatif à la relation client-fournisseur

 

CPBP 2020_06-11-2020_signaturesok_avec Annexe 1

#Confinement | Réunion du Comité stratégique de la filière automobile

Le comité stratégique de la filière automobile s’est réuni, aujourd’hui à 9h30, par audioconférence, sous la présidence de Luc CHATEL et en présence de la ministre de la Transition écologique, Barbara POMPILI, du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, Bruno LE MAIRE, et de la ministre déléguée chargée de l’Industrie, Agnès PANNIER-RUNACHER.

Il s’agissait de faire le point sur les impacts de la crise et le suivi du déploiement du plan de soutien, mais surtout, dans le contexte de deuxième vague épidémique, d’anticiper les effets du re-confinement sur l’activité industrielle et le marché français.

 

Impacts de la crise 

Après l’effondrement du marché au printemps (- 72% en mars, -89% en avril), les mesures du plan de soutien dévoilé par le président de la République le 26 mai dernier, ont pleinement joué leur rôle, permettant un rebond en juin (+1,2%) et juillet (+3,9%) et un relatif retour à la normale ces trois derniers mois (volumes en ligne avec la moyenne du marché sur les dix dernières années).

Au total, le marché enregistre un recul de -27% en France sur les dix premiers mois de l’année (-29% en Europe sur les neuf premiers mois). A la veille du re-confinement, nos prévisions anticipaient, pour l’ensemble de l’année 2020, un recul du marché de -25% en France.

 

 « Anticiper le risque d’une mise à l’arrêt de l’appareil industriel et d’un nouvel effondrement du marché »

 

« Si on ne réouvre pas rapidement les concessions, nous devons nous préparer à faire face au risque d’une mise à l’arrêt de l’appareil industriel et d’un nouvel effondrement du marché. Après le choc du printemps et la prévision, avant même le re-confinement, d’un marché en chute de -25% sur l’ensemble de l’année 2020, les choix qui seront faits pèseront lourds sur le tissu industriel et l’emploi au cœur de nos territoires », a alerté Luc CHATEL.

Depuis l’application des mesures de re-confinement, malgré la possibilité dite du « click & collect », force est de constater un effondrement des commandes évalué, au terme de cette première semaine, à -70%.

Cet effondrement des ventes, si on ne permet pas rapidement la réouverture des concessions, aura pour conséquence la mise à l’arrêt de l’appareil industriel avec un impact encore plus lourd qu’au printemps.

Il est donc vital de réexaminer la question de l’ouverture des concessions automobiles. En rappelant que des protocoles sanitaires particulièrement stricts sont effectifs, depuis le printemps dernier, dans l’ensemble des concessions automobiles, dont les espaces de vente permettent une distanciation plus exigeante encore que dans la grande distribution par exemple.

 

Faire de la transition écologique un véritable levier de relance

 


« Face au choc de la crise, nous avons choisi de faire de la transition écologique un véritable levier de relance pour le secteur automobile. La filière française est aujourd’hui au rendez-vous comme jamais, avec, notamment, un bond sans précédent des ventes de véhicules électrifiés.

Un tel succès rend d’autant plus urgent le déploiement des infrastructures de recharge conformément aux engagements qui ont été pris : il est temps que le rythme de déploiement des bornes de recharge suive celui des ventes de véhicules électriques.

Enfin, le maintien d’un niveau soutenu de bonus en 2021 est un levier indispensable de réussite. A cet égard, la créativité fiscale et l’imagination réglementaire ne doivent jamais perdre de vue une triple exigence : stabilité, visibilité dans le temps, cohérence - cohérence, notamment, avec la trajectoire ambitieuse dont la réglementaire européenne fixe le cap », a souligné Luc CHATEL.

Après l’effondrement du marché au printemps, nous avons résolument choisi de faire de la transition écologique un véritable levier de relance pour le secteur automobile.

C’est tout le sens du Plan du soutien dévoilé par le président de la république, le 26 mai dernier, qu’il s’agisse des mesures visant à stimuler la demande, que du volet consacré à l’offre qui dessine une ambition pour l’avenir de la filière en France.

Malgré la crise, sous l’effet notamment de niveaux de bonus à la hauteur des enjeux, au total, sur les 10 premiers mois de 2020, la part de marché véhicules électriques et hybrides rechargeables a été multipliée par plus de trois et demi, passant de 2,7% il y a un an, (octobre 2019) à 9,8% en 2020.

A fin octobre, la moyenne des émissions de CO2 des voitures neuves vendues en France atteint son plus bas historique, à 95,5 g/km contre 112,9 g à la fin de l’année dernière - soit une baisse de plus de 15% depuis le début de l’année.

 

Annonces du gouvernement


Les ministres ont annoncé  la prolongation, jusqu’en juin 2021, des barèmes actuels du bonus et de la prime à la conversion.

Par ailleurs, quatre points qui intéressent directement les entreprises de la filière, ont été actés :

  • La reconduction du fonds R&D pour 2021, pour un montant comparable à 2020 (150 M€) afin de soutenir les entreprises dans leurs efforts d’innovation pour la mise en œuvre de la feuille de route technologique de la filière

Votre contact : coram.dge@finances.gouv.fr

 

  • L’annonce de nouveaux lauréats du fonds de modernisation et l’ouverture de nouveaux crédits dès à présent pour permettre la poursuite de l’instruction des dossiers déposés, au-delà des 200 M€ initialement prévus. Un nouvel appel à projet va être lancé, suite à l’appel en cours qui se termine le 17 novembre. Le fonds sera doté de 600 M€ au total sur 3 ans.

L’ensemble des informations sur :  https://www.bpifrance.fr/A-la-une/Appels-a-projets-concours/Appel-a-projets-Plan-de-relance-pour-l-industrie-Secteurs-strategiques-volet-national-50697

 

  • Le lancement opérationnel d’un nouveau dispositif d’apports en fonds propres, avec la création du Fonds Avenir Automobile.

Votre contact : contact-faa@bpifrance.fr

 

  • La signature d’un nouveau code de performance et de bonnes pratiques concernant les relations clients-fournisseurs au sein de la filière (mettre un lien sur le code).

L’ensemble des informations utiles sur : https://pfa-auto.fr/2020/11/06/relation-client-fournisseur-code-de-performance-et-de-bonnes-pratiques/

 

👉 Téléchargez le communiqué du gouvernement

👉 Télécharger le dossier de presse du gouvernement

👉 Téléchargez le communiqué de presse relatif au lancement du Fonds Avenir Automobile 2

 


#Confinement ­| Mesures économiques d'urgence

Dans le contexte de la deuxième vague épidémiques et des dispositions sanitaires, le gouvernement a annoncé le renforcement de mesures économiques d’urgence, en particulier s’agissant des prêts garantis par l’Etat.

 

Les prêts garantis par l'État et les prêts directs de l'État

Les prêts garantis par l'État

Ils seront adaptés à la fois à la nouvelle situation et aux demandes des entrepreneurs. Le ministre a présenté 4 annonces :

  • les entreprises peuvent désormais contracter un prêt jusqu’au 30 juin 2021 au lieu du 31 décembre 2020,
  • l’amortissement du prêt garanti par l’État pourra être étalé entre 1 et 5 années supplémentaires, avec des taux pour les PME négociés avec les banques françaises compris entre 1 et 2,5 %, garantie de l’État comprise,
  • il sera possible d’aménager l’amortissement avec une 1ère période d’un an, où seuls les intérêts et le coût de la garantie d’État seront payés, en restant dans la durée totale fixée (soit « 1+1+4 », avec 1 année de décalage du remboursement du capital et 4 années d’amortissement),
  • il a été vu avec la Banque de France pour que ces délais supplémentaires ne soient pas considérés comme un défaut de paiement des entreprises.

Les prêts directs de l'État

Il a été annoncé que l’État pourra accorder des avances remboursables plafonnées à 3 mois de chiffre d’affaires pour les entreprises de plus de 50 salariés.

 

La garantie de l'activité économique

Pour tous les secteurs industriels

Il est essentiel que les bureaux d’études restent ouverts et que les ingénieurs puissent s’y rendre.

Retrouvez l’ensemble des mesures ici : https://www.economie.gouv.fr/covid19-soutien-entreprises/mesures-urgence-economiques-confinement

 

Mise en place d’un numéro spécial d’information pour les entreprises en difficultés

Un numéro spécial d’information sur les mesures d’urgence pour les entreprises en difficulté à été mise en place.

342 - Le numéro spécial d’information sur les mesures d’urgences pour les entreprises et les associations en difficulté sera effectif dès lundi 2 novembre à 9h

 

Rappel actualisé des mesures d’urgences

Principales mesures et contacts utiles

Coronavirus-MINEFI-10032020

Télécharger le rappel des mesures et des contacts utiles

Questions-réponses pour les entreprises

coronavirus_faq_entreprises

Télécharger le questions-réponses


#COVID19 | Le secteur automobile face à la crise : Luc Chatel, invité de BFM Business


#COVID19 I Nouveau protocole national

Le protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de la Covid-19 a été actualisé le 29 octobre 2020 à la suite de l’instauration d’un nouveau confinement et du renforcement des mesures sanitaires pour enrayer la progression de l’épidémie.

Il s’agit d’un document de référence pour assurer la santé et la sécurité des salariés et la poursuite de l’activité économique.

Les principales évolutions portent sur :
• La généralisation du télétravail pour les activités qui le permettent ;
• L’organisation des réunions par audio et visio-conférences ;
• L’utilisation de l’application TousAntiCovid pour faciliter le suivi des cas contacts ;
• La suspension des moments de convivialité dans le cadre professionnel.

Télécharger le nouveau protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de COVID-19.

 

protocole-national-sante-securite-en-entreprise

Pour aller plus loin, vous pouvez consultez :

Les guides et conseils de bonnes pratiques à destination des employeurs, des salariés et de toute personne intervenant dans l’entreprise

Le Questions-Réponses "Mesures de prévention dans l’entreprise contre la Covid-19"