LAB DE LA FILIÈRE AUTO SPÉCIAL EUROPÉENNES

A l’occasion des élections européennes, le LAB de la Filière AUTO organisait un débat entre représentants des listes des principales formations politiques : le député du Territoire de Belfort, Ian BOUCARD, pour François-Xavier BELLAMY (LR), le député européen Pascal CANFIN, président de la commission Environnement, n°4 sur la liste de Valérie HAYER (Renaissance), la députée de Seine-Maritime, Alma DUFOUR, pour la liste de La France Insoumise, Fabien GACHE, candidat sur la liste du PCF, François KALFON, candidat sur la liste de Raphaël GLUCKSMANN (PS), le conseiller régional Aleksandar NIKOLIC, candidat sur la liste de Jordan BARDELLA (RN), Jean MOUCHEBOEUF, candidat sur la liste de Marion MARECHAL (Reconquête), et Majdouline SBAI, n°5 sur la liste EELV.

Pour un Pacte automobile européen :

Echéances européennes - Priorités et propositions de la filière automobile

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Télécharger les Priorités et propositions de la filière automobile

 

 


Luc Chatel, invité de de la matinale de SUD RADIO

A quelques heures de la signature du Contrat stratégique de la Filière automobile, Luc Chatel répondait aux questions de Patrick Roger dans la matinale de Sud Radio. Ecoutez le replay.

 


Contrat Stratégique de Filière 2024-2027

Luc CHATEL, président du Comité Stratégique de Filière, a signé lundi 6 mai 2024, à Bercy, le CSF 2024-2027, avec les ministres Bruno LE MAIRE, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique Catherine VAUTRIN, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités et Roland LESCURE, ministre chargé de l'Industrie et de l'Énergie, ainsi que Xavier BERTRAND, président de la région Hauts-de-France et représentant Régions de France.

Télécharger le texte du Contrat Stratégique de Filière 2024-2027

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« Afin de relever le défi de la plus grande transformation de son histoire, la filière automobile s’est positionnée en 2018, dans le cadre de son dernier contrat stratégique de filière, comme services et industrie des solutions face au défi climatique.

En France, ces cinq dernières années, sous l’effet des efforts sans précédent d’innovation et d’investissement consentis par les acteurs de la filière, les ventes de véhicules 100 % électriques ont été multipliées par plus de cinq, dépassant les objectifs que nous nous étions fixés en 2018. Et, malgré une addition de crises, leur part de marché, qui se situe aujourd’hui autour de 18%, a été multipliée par 10.

 Pour reconquérir notre souveraineté technologique et conforter le tissu industriel français, la filière automobile investit aujourd’hui en France comme jamais depuis 50 ans.

Ces trois dernières années, les investissements engagés par les PME et sous-traitants du secteur, sous l’impulsion des fonds de soutien déployés par l’Etat, représentent un total de plus de deux milliards d’euros d’investissements industriels.

Des dizaines de milliards d’euros sont, par ailleurs, engagés dans le cadre d’investissements créateurs d’emplois au cœur de nos régions sur les nouvelles chaînes de valeur : batteries, hydrogène, matériaux à très faible empreinte carbone, … 

La nouvelle période qui s’ouvre, est marquée par l’accélération sans précédent de la trajectoire que définit désormais la règlementation européenne : nous avons vendu 200.000 véhicules électriques en 2022, 300.000 en 2023, nous devrons en vendre un million en 2030.

Ce nouveau contrat stratégique de filière doit contribuer à créer les conditions de réussite face à un tel défi. Il positionne résolument la filière automobile, constructeurs, équipementiers, sous-traitants et services de l’automobile, à l’avant-garde de la bataille pour le climat.

Pour être au rendez-vous des Accords de Paris, basculer des motorisations thermiques vers l’électrique est loin d’être suffisant. Il faut convaincre le consommateur et rendre la mobilité écologique accessible à tous. Il faut relever le défi des emplois et des compétences, accompagner la reconversion des salariés. Soutenir nos PME, reconquérir notre souveraineté et réduire les risques de dépendances – c’est aussi l’un des enjeux de l’économie circulaire.

Bref, nous n’avons d’autre choix que de gagner simultanément la bataille climatique et la bataille industrielle ».

Luc Chatel

Président du CSF automobile, Président de la PFA

Le dossier de presse :

1835 - DP - Signature du contrat stratégique de filière (CSF) Automobile 2024-2027

Le Contrat Stratégique de filière 2024-2027 :

1835 - Contrat stratégique de la filière automobile (véhicules légers et véhicules lourds) 2024-2027_compressed

Quel mix énergétique européen pour les véhicules Industriels à horizon 2040 ?

L’étude VIsion’AIR établit une analyse du mix de motorisations selon différents angles (par pays, par segment, par année, par catégorie de véhicule), ainsi que leur contribution carbone.

L’étude se base sur un modèle de projection complexe, intégrant de nombreuses données fournies par les participants, constructeurs VI, constructeurs VUL, transporteurs, chargeurs…

Il s’agit notamment d’agréger, au sein de la modélisation, les projections de parc, le coût total de possession, le mix powertrain par marque, les stratégies, l’évolution des infrastructures et la fiscalité par pays…). Puis de les corréler avec les données structurantes du secteur, dans les 27 pays d’Europe.

 

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BONUS ECOLOGIQUE : « Une réforme doublement vertueuse, au plan environnemental comme au plan industriel »

Alors que le décret relatif à la conditionnalité environnementale de l’éligibilité au bonus écologique doit être publié au Journal officiel, la filière automobile en France salue une réforme doublement vertueuse, au plan environnemental comme au plan industriel.

Le maintien d’un niveau soutenu d’aide à l’achat d’un véhicule électrique est indispensable pour répondre à l’ambition de la trajectoire de réduction des émissions de CO2 définie par la règlementation européenne.

De ce point de vue, le bonus écologique a démontré son efficacité : associé aux investissements sans précédent consentis par les industriels, il a contribué à voir la part de marché des véhicules 100% électriques multipliée par plus de dix en cinq ans, passant de 1,43% en 2018 à 15,4% à fin août 2023.

Cependant, le bonus écologique n’était jusqu’à présent fondé que sur la seule prise en compte des émissions de CO2 à l’usage et non sur l’ensemble du cycle de vie du véhicule. La réforme vise à conditionner désormais l’attribution du bonus à un niveau minimum de performance environnementale lié à la production du véhicule (matériaux, assemblage, batterie, transport).

Cette prise en compte de l’empreinte carbone de production du véhicule est cohérente avec la Feuille de route de décarbonation de la filière automobile, présentée au gouvernement par Luc CHATEL, président de la PFA, le 24 mai dernier, et qui souligne l’importance de la phase de production dans l’empreinte carbone d’un véhicule électrique.

Une telle approche est de nature à valoriser l’atout incontestable que constitue pour la France et pour l’Europe, leur électricité décarbonée, et à en faire un levier de réindustrialisation. De ce point de vue, cette réforme du bonus écologique constitue une incitation à produire en France et en Europe.

« Au moment où l’Union européenne fait le choix du tout-électrique en Europe dès 2035, cette prise en compte des émissions de CO2 sur l’ensemble du cycle de vie du véhicule est une évolution que nous appelions de nos vœux dans le cadre de la réglementation européenne.

Alors que le maintien d’un niveau soutenu de bonus est indispensable pour relever le défi, qui comprendrait que les finances publiques soutiennent l’achat de véhicules produits dans des conditions environnementales contraires à l’ambition qui est la nôtre ? », souligne Luc CHATEL, président de la Plateforme automobile (PFA).


Neutralité carbone 2050 : quelle feuille de route d’ici à 2030 ?

Afin de nourrir les travaux de la planification écologique dont les premières orientations ont été annoncées deux jours plus tôt par la Première ministre, Luc Chatel, président de la filière automobile, a présenté, mercredi 24 mai 2023, les propositions du secteur à Christophe BÉCHU, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Agnès PANNIER-RUNACHER, ministre de la Transition énergétique, Clément BEAUNE, ministre délégué chargé des Transports.

A l’instar des principales filières économiques, la filière automobile a élaboré au cours de l’année 2022 une proposition de feuille de route de décarbonation, en associant très largement les différents acteurs de la filière à travers une trentaine d’ateliers qui a mobilisé une centaine de participants (amont et aval, VP, VUL et VI). Ces propositions visent à fixer une trajectoire, identifier les freins à surmonter et les leviers à déployer pour accélérer la décarbonation et atteindre les objectifs de baisse des émissions de gaz à effet de serre de la France.

Consultez et téléchargez ici la synthèse des propositions

Présentation du mercredi 24 mai 2023

 

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Revivez le Mondial de l'Auto au jour le jour

 

  • 16 octobre – J-1

Dans les éditions du week-end du Figaro, Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, rappelle à quel point l’automobile occupe une place centrale dans la mobilité des Français.

Le montage se termine à Paris porte de Versailles. Le Mondial de l’Auto, seul salon international en Europe en 2022, sera la vitrine du nouveau monde automobile : résolument électrique, premier salon de la révolution hydrogène, ouvert sur les nouvelles tendances qui redessinent la consommation du produit automobile.

 

  • 17 octobre – Journée presse et inauguration présidentielle

Sur BFM business, Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, souligne que, depuis le dernier salon, en quatre ans, l’industrie automobile a connu plus de transformations que ces quarante dernières années.

Lors de la journée presse, se dévoilent les avant-premières mondiales et, tout particulièrement, sur les stands des groupes Renault et Stellantis.

Luca de Meo, pour le groupe Renault a dévoilé six avant-premières mondiales dont, notamment, une interprétation de son iconique Renault 4, 4EVER Trophy, futur modèle 100 % électrique qui sera commercialisé en 2025, et produit en France à Maubeuge, mais aussi le nouveau Kangoo E-Tech électrique, dont la production est également annoncée à Maubeuge.

Carlos Tavares, pour Stellantis, a notamment annoncé une montée en puissance de la production de voitures à batterie en France. Stellantis, qui produit déjà six véhicules 100 % électriques dans l'Hexagone, prévoit de doubler ce chiffre « à brève échéance ». Les Peugeot 308, 308 break et 408 électriques seront notamment produites à Mulhouse (Haut-Rhin). Les SUV 3008 et 5008 électriques seront produits à Sochaux et le futur SUV électrique de Citroën à Rennes.

Accueilli par Luc CHATEL, président de la Plateforme automobile (PFA), Frédéric BEDIN, président du groupe HOPSCOTCH et Serge GACHOT, le Directeur général du Mondial, le président de la République, accompagné de cinq ministres, passe cinq heures et demi au Mondial de l’Auto.

Au Mondial, VALEO a fait les choses en grand :

  • 18 octobre – Paris Automotive Summit et 1ère journée publique

Le 18 octobre au matin, au Dôme de Paris, s’ouvre le Paris Automotive Summit porté par le Mondial de l’Auto et par le salon Equip Auto, réunis pour la 1ère fois porte de Versailles.

Les interventions de Luca de Meo (Renault Group), de Christophe Périllat (VALEO), ou encore de Carlos Tavares (Stellantis), parmi bien d’autres intervenants, sont suivies par près de 2000 personnes sur place et plus de 40 000 personnes à distance sur les réseaux sociaux.

Pavillons 6, 4 et 3, ce sont les portes du Mondial de l’Auto qui s’ouvrent enfin au grand public, après quatre ans de patience…

Deux ministres effectuent une visite du Mondial, dans l’après-midi. Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, et Roland Lescure, le ministre de l’Industrie qui annonce sa volonté d’un « soutien massif à l’innovation et à l’industrialisation, sur toute la chaîne de valeur de l’automobile ».

  • 19 octobre – L’hydrogène et la surprise de Teddy Riner

Avec la présence de Hyvia (Renault), de Stellantis, de SYMBIO et de PLASTIC OMNIUM, le Mondial 2022 est résolument le premier salon de la révolution Hydrogène :

La deuxième journée ouverte au public est marquée par la visite surprise de Teddy Riner.

  • 20 octobre – Séance de dédicaces avec Miss France et visite ministérielle

Au Micro de Patrick Roger dans la matinale de Sud Radio, Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, souligne l’exigence de relever le défi de l’électrification en garantissant la liberté de mouvement.

La troisième journée ouverte au public est notamment marquée par la visite de Diane Leyre, Miss Fance.

Le ministre des Transports, Clément Beaune, en visite au Mondial, réaffirme l’engagement du gouvernement à rendre le véhicule électrique plus accessible.

  • 21 octobre – Futur de la mobilité, futur de l’industrie : le débat a lieu au Mondial

« Industrie automobile : la reconquête de notre souveraineté est une priorité », pour Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, dans L’Express, en kiosque depuis hier.

Quatrième journée d’ouverture au public, et toujours plus de passion :

  • 22 octobre – Un monde fou et une commande de 10 000 véhicules pour HOPIUM

  • 23 octobre – Clap de fin et pari réussi pour le Mondial de l’Auto

Pari réussi pour le Mondial de l’Auto qui nous donne rendez-vous en 2024

 


Revivez les moments forts du #ParisAutomotiveSummit 2022

Au cœur du Mondial de l’Auto et du salon Equip Auto, réunis porte de Versailles, du 17 au 23 octobre, la 1ère édition du #ParisAutomotiveSummit a constitué un temps fort le 18 octobre au matin au Dôme de Paris (Palais des Sports, 34 bd Victor, Paris XV – Porte de Versailles).

L’évènement exceptionnel a réuni 2000 personnes, plus de 40.000 personnes pour le live sur les réseaux sociaux, et rassemblé dirigeants mondiaux du secteur et nouveaux acteurs innovants pour partager leur vision des défis d’avenir du secteur et de la mobilité du futur. 

Parmi les intervenants, Carlos TAVARES, à la tête du groupe Stellantis, Luca de MEO, directeur général du groupe Renault, Christophe Périllat, directeur général de Valeo, le ministre Bruno Le Maire, Luc Chatel, président de la PFA, ou encore Wang CHUANFU, président de BYD. Mais aussi des acteurs phares du nouvel écosystème automobile : HOPIUM, Google, BNP-PARIBAS, …

Le summit est ouvert en vidéo :

L'innovation partagée par tous

Discours d'ouverture de Luc Chatel :

Intervention de Luca de Meo, CEO de Renault :

L'intervention de Christophe Périllat, CEO de Valeo :

L'intervention de Bruno Le Maire :

Table ronde sur la mobilité durable, mobilité du futur :

Intervention de Michael Shu, BYD Europe :

Intervention de Carlos Tavares, CEO de Stellantis :


Industrie automobile | Luc Chatel « face à la presse »


LE REPLAY VIDEO :


« Le rythme actuel de déploiement du réseau de recharge en France est-il compatible avec la fin annoncée des véhicules thermiques en 2035 ? »

 

Dans le cadre du LAB de la Filière AUTO, la PFA organisait, le 23 mars 2022, une table-ronde sur le thème :  

 « Le rythme actuel de déploiement du réseau de recharge en France est-il compatible avec la fin annoncée des véhicules thermiques en 2035 ? »

 

Retrouvez ici la présentation :

slides présentation Table ronde bornes recharge

 

Consultez la synthèse des débats (« Seul le prononcé fait foi ») :

Synthèse table ronde Bornes de recharge du mercredi 23 mars 2022