Le Campus des métiers et des qualifications de Flins devient campus d'excellence

Le Campus de Flins devient campus d'excellence
 L’ICM localisé à la ReFactory Renault de Flins (Yvelines) labellisé « Campus d’Excellence desMétiers et des Qualifications » (CMQ) pour les cinq prochaines années.
 Axé autour de trois thématiques : Mobilités terrestres, Energie et Recyclage, le campus formera, avec l’ensemble de ses partenaires, 8 000 personnes d’ici à 2027 sur les métiers de l’économie circulaire. 
 Un projet de formation hautement innovant, fruit d’un partenariat entre plusieurs acteurs institutionnels, académiques et industriels.
 Un investissement de 19 millions d’euros sur cinq ans pour répondre aux enjeux d’employabilité.

Mercredi 14 décembre 2022  Roland Lescure, ministre chargé de l’industrie, Charline Avenel, rectrice de l’académie de Versailles, Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France, Alain Bui, président de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, en présence de Jean-Dominique Senard, président du Conseil d’administration de Renault et Thibaut Guilluy, Haut-commissaire à l’Emploi et à l’engagement des entreprises, ont officiellement lancé, ce jour, le Campus des Métiers et des Qualifications « Industrie Circulaire de la mobilité » (ICM) situé à l’usine Renault de Flins. A cette occasion, l’ICM reçoitle label ministériel “Campus d’Excellence” pour une durée de 5 ans, signe de reconnaissance de la qualité des actions qu’il porte, au service du renforcement des liens entre le monde éducatif et le monde économique. 

Grâce à un réseau de partenaires académiques et industriels, le campus déploiera une offre de formation auprès de 8 000 étudiants et professionnels d’ici à 2027 sur les métiers liés aux industries de la mobilité et à l’économie circulaire, au cœur de la ReFactoryRenault de Flins et bénéficiera d’un financement à hauteur de 19 millions d’euros sur 5 ans. 

Pour répondre aux enjeux de la décarbonation, la filière automobile a entamé une transformation majeure de ses produits et services, mais aussi de son modèle de production, en intégrant les fondamentaux de l’économie circulaire. Cette transformation s’accompagne de nouveaux besoins en compétences. 

Un pôle de formation unique 

Le campus ICM s’appuiera sur un espace de 8 000 m2 ouvert aux élèves, étudiants et professionnels souhaitant se former aux nouveaux métiers de la mobilité.  Il est conçu à la fois pour accompagner la mutation du site Renault de Flins dans le cadre du projet Refactory maisest également ouvert à l’extérieur, avec des contenus de formation et des expériences d’apprentissages innovants, permettant ainsi d’accompagner la transition des métiers de l’économie linéaire vers ceux de l’économie circulaire. 

Le campus ICM a conçu – en tant que Campus des Métiers et des Qualifications (CMQ) – une offre en 3 axes:

 Des formations théoriques aux fondamentaux de l’économie circulaire, pour comprendre les notions clés de l’économie circulaire, telles que le cycle de vie d’un produit, la différence entre le réemploi et le recyclage, ou encore la compréhension des nouvelles chaines de valeur.
 Des formations techniques pour préparer à de nouveaux métiers (diagnostiqueur rénovation véhicule, technicien rétrofit, ingénieur écoconception, acheteur éco-responsable…).
 Des parcours d’orientation pour identifier ces nouveaux métiers et trouver sa voieprofessionnelle.

Le campus accompagne déjà, avec ces programmes, la reconversion et la montée en compétences des salariés de l’usine de Flins vers la mutation des activités industrielles de la ReFactory. Le campus s’inscrit dans une logique d’innovation pédagogique (diversification des profils des personnes formées, souplesse dans la durée des formations, adaptation et agilité des modules de formation...).

Celle-ci permettra, notamment aux élèves des lycées professionnels de la filière mobilité, de pouvoir profiter d’un campus destiné à les accompagner dans leur formation et leur insertion professionnelle.

Des financements à la hauteur des enjeux

Le financement du CMQ estimé à 19 millions d’euros pour 5 ans proviendra en partie de fonds publics, attribués dans le cadre du Plan de relance (DEFFINUM), des Programmes d’Investissement d’Avenir (PIA 4- Compétences et Métiers d’Avenir), del’Appel à Projets régionalisé Grands lieux d’innovation Leader PIA, et de financements de l’académie de Versailles et de la Région Ile-de-France.

Un réseau de partenaires institutionnels, académiques et industriels

 La Région Ile-de-France accompagnera la transformation des plateaux techniques du site via un investissement de 5 M€ par la SEM Ile-de-France Investissements et territoires. Elle est par ailleurs fortement engagée dans la reconversion du site de Renault Flins pour en faire le 1er hub européen dédié à l’économie circulaire dans le secteur de la mobilité en matière de soutien à l’innovation, d’incubation et de formation professionnelle. 
 La région académique Ile-de-France et les académies de Versailles, Créteil et Paris, portent avec force l’adaptation et la transformation de leurs programmes pour accompagner l’accès aux emplois d’aujourd’hui et de demain à tous les publics. 
 L’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines est l’université porteuse du Campus des Métiers et des Qualifications (CMQ), qui participe étroitement à sa gouvernance ainsi qu’à l’élaboration et à la mise en place des formations (notamment à travers son IUT de Mantes-en-Yvelines et plusieurs laboratoires de recherche concernés par les thématiques du CMQ). 
 Renault Group met à la disposition du Campus unedirectrice opérationnelle expérimentée pour en assurer le pilotage, ainsi que des espaces situés son site industriel ReFactory de Flins (78). 

 La PFA (Plateforme Automobile), qui tient un rôle prépondérant dans la coordination nationale de la filière automobile, et le pôle de compétitivité NextMove sont très fortement impliqués dans la dynamique de création du campus ICM. C’est également le cas des partenaires privés couvrant les quatre dimensions de la mobilité, de l’énergie, du recyclage, et du retrofit, ainsi que des organisations territoriales.


FFC – Retour sur le succès des Rencontres de la Filière 2022

(copyright NICOLAS RODET)

L’Homme de la Filière 2022

L’évènement a été ponctué par la remise du prix de « L’homme de la Filière », attribué cette année à Luc Chatel. Le président de la PFA a reçu le prix des mains de Henri PACCALIN, Président de la CSIAM, en compagnie de Patrick Cholton, qui ont voulu, à travers ce prix, « saluer l’action de Luc CHATEL et de la PFA au plus fort de la crise, pour soutenir nos entreprises ».

Retrouvez la cérémonie en vidéo :

Temps forts et conférences

La journée a été l’occasion d’échanges de vues et de tables-rondes sur les enjeux de la filière. Le ministre Clément Beaune est intervenu en vidéo, avant des prises de paroles éclairantes sur les défis réglementaires de la transition énergétique, les ZFE, mais aussi le contexte économique marqué par les tensions inflationistes.

 

Retrouvez les interventions en vidéo :

 

Présentation de SOLUTRANS :

Patrick CHOLTON a présenté les contours de l’édition 2023 de SOLUTRANS. Au menu, des thèmes porteurs des enjeux de la filière, comme la transition énergétique, le rétrofit, les modes de livraison alternatifs…


Revivez le Mondial de l'Auto au jour le jour

 

  • 16 octobre – J-1

Dans les éditions du week-end du Figaro, Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, rappelle à quel point l’automobile occupe une place centrale dans la mobilité des Français.

Le montage se termine à Paris porte de Versailles. Le Mondial de l’Auto, seul salon international en Europe en 2022, sera la vitrine du nouveau monde automobile : résolument électrique, premier salon de la révolution hydrogène, ouvert sur les nouvelles tendances qui redessinent la consommation du produit automobile.

 

  • 17 octobre – Journée presse et inauguration présidentielle

Sur BFM business, Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, souligne que, depuis le dernier salon, en quatre ans, l’industrie automobile a connu plus de transformations que ces quarante dernières années.

Lors de la journée presse, se dévoilent les avant-premières mondiales et, tout particulièrement, sur les stands des groupes Renault et Stellantis.

Luca de Meo, pour le groupe Renault a dévoilé six avant-premières mondiales dont, notamment, une interprétation de son iconique Renault 4, 4EVER Trophy, futur modèle 100 % électrique qui sera commercialisé en 2025, et produit en France à Maubeuge, mais aussi le nouveau Kangoo E-Tech électrique, dont la production est également annoncée à Maubeuge.

Carlos Tavares, pour Stellantis, a notamment annoncé une montée en puissance de la production de voitures à batterie en France. Stellantis, qui produit déjà six véhicules 100 % électriques dans l'Hexagone, prévoit de doubler ce chiffre « à brève échéance ». Les Peugeot 308, 308 break et 408 électriques seront notamment produites à Mulhouse (Haut-Rhin). Les SUV 3008 et 5008 électriques seront produits à Sochaux et le futur SUV électrique de Citroën à Rennes.

Accueilli par Luc CHATEL, président de la Plateforme automobile (PFA), Frédéric BEDIN, président du groupe HOPSCOTCH et Serge GACHOT, le Directeur général du Mondial, le président de la République, accompagné de cinq ministres, passe cinq heures et demi au Mondial de l’Auto.

Au Mondial, VALEO a fait les choses en grand :

  • 18 octobre – Paris Automotive Summit et 1ère journée publique

Le 18 octobre au matin, au Dôme de Paris, s’ouvre le Paris Automotive Summit porté par le Mondial de l’Auto et par le salon Equip Auto, réunis pour la 1ère fois porte de Versailles.

Les interventions de Luca de Meo (Renault Group), de Christophe Périllat (VALEO), ou encore de Carlos Tavares (Stellantis), parmi bien d’autres intervenants, sont suivies par près de 2000 personnes sur place et plus de 40 000 personnes à distance sur les réseaux sociaux.

Pavillons 6, 4 et 3, ce sont les portes du Mondial de l’Auto qui s’ouvrent enfin au grand public, après quatre ans de patience…

Deux ministres effectuent une visite du Mondial, dans l’après-midi. Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, et Roland Lescure, le ministre de l’Industrie qui annonce sa volonté d’un « soutien massif à l’innovation et à l’industrialisation, sur toute la chaîne de valeur de l’automobile ».

  • 19 octobre – L’hydrogène et la surprise de Teddy Riner

Avec la présence de Hyvia (Renault), de Stellantis, de SYMBIO et de PLASTIC OMNIUM, le Mondial 2022 est résolument le premier salon de la révolution Hydrogène :

La deuxième journée ouverte au public est marquée par la visite surprise de Teddy Riner.

  • 20 octobre – Séance de dédicaces avec Miss France et visite ministérielle

Au Micro de Patrick Roger dans la matinale de Sud Radio, Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, souligne l’exigence de relever le défi de l’électrification en garantissant la liberté de mouvement.

La troisième journée ouverte au public est notamment marquée par la visite de Diane Leyre, Miss Fance.

Le ministre des Transports, Clément Beaune, en visite au Mondial, réaffirme l’engagement du gouvernement à rendre le véhicule électrique plus accessible.

  • 21 octobre – Futur de la mobilité, futur de l’industrie : le débat a lieu au Mondial

« Industrie automobile : la reconquête de notre souveraineté est une priorité », pour Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, dans L’Express, en kiosque depuis hier.

Quatrième journée d’ouverture au public, et toujours plus de passion :

  • 22 octobre – Un monde fou et une commande de 10 000 véhicules pour HOPIUM

  • 23 octobre – Clap de fin et pari réussi pour le Mondial de l’Auto

Pari réussi pour le Mondial de l’Auto qui nous donne rendez-vous en 2024

 


Mondial de l'auto 2022 - Luc Chatel invité de BFM Business

 

Luc Chatel était l'invité de BFM Business. Revoir la vidéo :


Revivez les moments forts du #ParisAutomotiveSummit 2022

Au cœur du Mondial de l’Auto et du salon Equip Auto, réunis porte de Versailles, du 17 au 23 octobre, la 1ère édition du #ParisAutomotiveSummit a constitué un temps fort le 18 octobre au matin au Dôme de Paris (Palais des Sports, 34 bd Victor, Paris XV – Porte de Versailles).

L’évènement exceptionnel a réuni 2000 personnes, plus de 40.000 personnes pour le live sur les réseaux sociaux, et rassemblé dirigeants mondiaux du secteur et nouveaux acteurs innovants pour partager leur vision des défis d’avenir du secteur et de la mobilité du futur. 

Parmi les intervenants, Carlos TAVARES, à la tête du groupe Stellantis, Luca de MEO, directeur général du groupe Renault, Christophe Périllat, directeur général de Valeo, le ministre Bruno Le Maire, Luc Chatel, président de la PFA, ou encore Wang CHUANFU, président de BYD. Mais aussi des acteurs phares du nouvel écosystème automobile : HOPIUM, Google, BNP-PARIBAS, …

Le summit est ouvert en vidéo :

L'innovation partagée par tous

Discours d'ouverture de Luc Chatel :

Intervention de Luca de Meo, CEO de Renault :

L'intervention de Christophe Périllat, CEO de Valeo :

L'intervention de Bruno Le Maire :

Table ronde sur la mobilité durable, mobilité du futur :

Intervention de Michael Shu, BYD Europe :

Intervention de Carlos Tavares, CEO de Stellantis :


Fit for 55 - L’Europe face à quatre défis historiques

« Après la décision du Conseil Environnement du 28 juin, l’Europe face à quatre défis historiques »

 

La décision du Conseil Environnement (28 juin 2022), de suivre la Commission et le Parlement européen sur le paquet Fit for 55, était attendue. Elle consacre le 100% électrique comme technologie unique pour les véhicules légers dès 2035, tout en prévoyant une clause de rendez-vous en 2026 pour faire un point sur d’éventuelles autres options technologiques.

La PFA en prend acte. Et, si les industriels démontreront une fois de plus leur capacité à être au rendez-vous, on ne peut que souligner l’ampleur des défis que suppose désormais, pour l’Europe et pour la France, une telle décision :

  • Défi environnemental :  l’efficacité écologique de la décision qui est prise aujourd’hui sur la seule base des émissions à l’usage, se mesurera demain à l’aune de l’ensemble du cycle de vie du véhicule. Il s’agit de valoriser pleinement et dès à présent l’atout dont bénéficie la France d’une électricité faiblement carbonée. 
  • Défi de l’accessibilité à la mobilité électrique pour tous, quels que soient le territoire que l’on habite ou les revenus que l’on perçoit : s’ouvre, avec cette décision, la nécessité impérieuse de permettre à tous les Français d’acheter un véhicule électrique en garantissant un niveau soutenu d’aides à l’achat, et une course contre la montre pour équiper tous les territoires en infrastructures de recharge : la France ne compte que 62 000 bornes de recharge accessible au public, il en faudra dix fois plus à horizon 2030 et développer dans le même temps les stations hydrogène.
  • Défi de la compatibilité d’une telle décision avec l’ambition industrielle affichée en France comme en Europe : on chiffre à au moins 100 000 les pertes potentielles d’emplois dans la filière en France d’ici à 2035 sous l'impact de ces transformations. L’accompagnement massif des salariés et des 4000 PME qui font le tissu industriel de l’automobile en France est une exigence ainsi que le redressement de la compétitivité du site France, pour attirer les investissements massifs à réaliser dans les nouvelles chaines de valeur (batterie, électronique de puissance, hydrogène pour la mobilité, économie circulaire).
  • Défi de la souveraineté, enfin, face aux risques de dépendances accrues que crée une telle décision pour nos pays : selon l’AIE, 50% de la chaine de valeur du véhicule et 75% de la chaine de valeur de la batterie sont aujourd’hui situées en Chine. L’Europe doit d’urgence sécuriser l’approvisionnement en terres rares et matériaux stratégiques, développer le raffinage des minerais et porter attention à la question du contenu carbone des produits importés.   

 

 


Fit fo 55 - Luc Chatel invité de BFM Business

"L'interdiction du thermique c'est un grand saut dans le vide et c'est un sabordage industriel".

 

Revoir l'interview complète

 

 


5G OPEN ROAD, la révolution autonome en route

5G OPEN ROAD, la révolution autonome en route

Lancement du projet 5G Open Road de mobilité connectée et automatisée

 

Paris, le 20 avril 2022 – Seize acteurs* majeurs de la mobilité du futur ont signé un accord de coopération d’une durée de 3 ans pour créer 5G OPEN ROAD, l’un des plus grands programmes d’assistance à la conduite de véhicules automatisés connectés sur routes ouvertes en Europe. D’un montant de près de 90 millions d’euros, ce projet est cofinancé par les membres du consortium dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir et la BPI (Banque Publique d’Investissement).

Véritable révolution à venir dans les services de la mobilité connectée et automatisée, la 5G permet de développer de nombreux services de mobilité en connectant les véhicules entre eux, avec les infrastructures en bord de route et le cloud, pour améliorer la sécurité et fluidifier le trafic en zone dense. Parmi les cas d’usage identifiés en zone urbaine, le projet se concentrera sur la sécurisation des piétons et autres vulnérables, la réduction de l’empreinte carbone de la mobilité, la logistique du dernier kilomètre, et le transport à la demande via des navettes autonomes.

5G OPEN ROAD rassemble un écosystème de partenaires et sous-traitants privés, publics et académiques représentant une nouvelle chaîne de valeur. Les acteurs travailleront en étroite collaboration avec les agglomérations sur les bénéfices de la 5G et les enjeux associés.

Coordonné par la PFA (Plateforme automobile) et Nokia, le projet 5G OPEN ROAD est déployé sur le plateau de Saclay et dans la Communauté d'agglomération de Versailles Grand Parc (Île de France). Il s’appuie sur :

  • Des réseaux de télécommunication 5G de Bouygues Telecom et Nokia ;
  • Une diversité de prototypes de véhicules autonomes et connectés en 5G de Stellantis, Renault, Valeo, MILLA GROUP, TwinswHeel ;
  • Des équipements de bord de route intelligents et connectés de Lacroix city ;
  • Une plateforme de traitement de messages et de données, les algorithmes de décision et les applications fournissant les services de Capgemini, de Goggo Network, de Montimage et de Smile.

Des savoir-faire et des compétences d’instituts et centre d’essais : Cerema, UTAC, Systematic.

Pour tester ces différents cas d’usage, le projet dispose de véhicules de niveau d’autonomie L2+[1] (Renault et Stellantis), de robots taxis niveau L4[2] (Valeo), de navettes autonomes électriques L4 (MILLA), de droïdes de logistique autonome (TwinswHeel, Valeo ou MILLA) pour le dernier kilomètre et d’objets de micromobilité tous connectés en 5G. Nokia Bell Labs fournit une plateforme « edge computing » hébergeant les traitements débarqués, dont la supervision en temps réel des objets mobiles qui sera utilisée pour la micromobilité.

Le projet, lauréat du Comité d'orientation pour la recherche automobile et pour les mobilités (Coram), est financé par le gouvernement dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (PIA).

 

Bouygues Telecom, Capgemini, Cerema, Goggo Network, Lacroix city, MILLA GROUP, Montimage, Nokia, Renault, Smile, Stellantis, Systematic, TwinswHeel, UTAC, Valeo.

[1] Niveaux d’autonomie des véhicules allant de L0 à L5. L2+ définissant une autonomie partielle avancée.

Niveau d’autonomie élevée : A partir de ce niveau, aucune assistance de la part du « conducteur » n’est requise.


Impact de la crise ukrainienne / Présidentielle ­| Luc Chatel invité de de France Info

Lundi 14 mars 2022, Luc Chatel était l’invité de de la matinale de France Info : le président de la Plateforme automobile (PFA) était interrogé sur l’impact, sur le secteur automobile économique, de la crise ukrainienne, en particulier de la flambée des prix de l’énergie. Mais aussi sur les priorités et propositions du secteur pour la présidentielle 2022, alors que les candidats intervenaient, le même jour, devant la filière automobile.

Impacts de la crise ukrainienne | Impacts liés aux activités réalisées en ou pour la Russie et l’Ukraine, impacts sur l’approvisionnement et sur l’augmentation des cours des matières premières, Luc Chatel a notamment été interrogé sur les conséquences sur le secteur de la flambée des prix de l’énergie.

 

Impacts potentiels de la crise ukrainienne sur le secteur automobile_web V2

 

Présidentielle 2022 | Pour Luc Chatel, « l’avenir du secteur automobile va se jouer sur les décisions qui seront prises dans les cinq ans » :

 

Présidentielle 2022 | Priorités et propositions de la filière automobile :

 

220311_Communiqué_Présidentielle_Priorités et propositions de la filière automobile

 


Présidentielle 2022 | Les candidats face à la filière automobile

Alors que les perspectives de marché restent très incertaines dans le contexte particulièrement préoccupant de la crise ukrainienne, l’avenir du secteur automobile, confronté à des transformations historiques sans précédent, va se jouer sur les décisions qui seront prises dans les cinq ans.

 

 

L’ensemble de la filière automobile, la PFA, Mobilians, la FIEV et la CSIAM, - constructeurs, équipementiers, sous-traitants, distributeurs, services de l’automobile et importateurs de véhicules – auditionnait, le lundi 14 mars 2022, les candidats officiels à l’élection présidentielle.

 

 

Bruno Le Maire, pour Emmanuel Macron, propose une "clause de revoyure" en 2028 pour le paquet Climat Fit for 55 :

Sébastien Pilard, pour Eric Zemmour, plaide pour « la réindustrialisation de la France » :

Karima Delli, pour Yannick Jadot, défend l’intermodalité :

Anne Hidalgo propose une formule de « leasing social » :

Xavier Bertrand, pour Valérie Pécresse, défend l’hybride et l’hybride rechargeable :

Jean-Philippe Tanguy, pour Marine Le Pen, veut « inciter et non contraindre » :

Jacques Baudrier, pour Fabien Roussel, juge les aides à l’achat insuffisantes :

Jean Lassalle entend défendre une politique du « bon sens » :

Eric Coquerel, pour Jean-Luc Mélenchon, veut « diminuer l'usage de la voiture individuelle » :

 

Les propositions de la filière automobile : 

 

220311_Communiqué_Présidentielle_Priorités et propositions de la filière automobile

Télécharger les propositions de la filière automobile